Récit d’une éducatrice migraineuse qui devait composer avec la cacophonie d’une garderie… et une colonne hypothéquée!
Maryse Durocher possédait une garderie en milieu familial. 6 petits mousses de 18 mois à 5 ans à s’occuper. Des jeunes de cet âge, c’est enthousiaste… et ça le démontre par des cris de joie… ou des pleurs de déception. Le genre d’environnement à proscrire pour quelqu’un qui souffre de migraines.

En plus, pour divertir ces jeunes amis, on doit s’accroupir, se mettre à genoux et se pencher pour être à leur niveau. Ces positions mettent le dos à rude épreuve.
Elle souffre de tensions importantes au cou et de douleurs sévères au bas de son dos. Ses bras et ses jambes engourdissent.
Et le pire, ce sont ces maux de tête qui semblent reliés à son cou. Des maux de tête de type migraine qui peuvent durer jusqu’à 4 jours d’affilés. Maryse explique que plus elle ressent des douleurs à son cou, pire sont ses migraines.
Pourtant, outre les médicaments en vente libre, la solution qu’on lui propose est le Rizatriptan, une molécule pour traiter les crises de migraines. Malheureusement, cette médication n’aura pas l’effet escompté; les migraines n’y sont pas soulagées.

Pour ses problèmes à la colonne et ses engourdissements, elle consulte différents thérapeutes. Avec son travail, c’est cependant un éternel recommencement. Même les relaxants musculaires ne viennent pas à bout des douleurs persistantes. Elle est découragée!
Sans qu’elle ne s’en doute, sa vie est sur le point de basculer lorsqu’une amie lui parle de Solutions Discales. Cette dernière partage son expérience et les résultats percutants qu’elle a vécus.
Maryse est enthousiasmée… mais très sceptique!
Elle décide tout de même de prendre un rendez-vous pour une consultation.
Les diagnostics :
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- Dégénérescence discale à trois niveaux dans la région cervicale,
- Dégénérescence importante au dernier disque lombaire (L5-S1) et
- Céphalées cervicogènes
Ces types de conditions répondent habituellement bien à la décompression neurovertébrale et c’est justement ce que le chiropraticien en charge de son cas lui recommande.
Avant d’amorcer les soins, elle assiste à une séance d’orientation où les soins sont expliqués… « pas de surprises, on sait ce qui nous attend », raconte-t-elle.
Les améliorations se font attendre à l’amorce des soins, mais Maryse demeure confiante.
Après quelques semaines, un soulagement graduel s’installe. Les membres de madame Durocher reviennent à la normale et ses migraines diminuent en intensité et en fréquence.
Elle voit enfin la lumière au bout du tunnel.
Après le protocole prescript, Maryse quantifie ses améliorations entre 90 et 100% 90 et 100%.
Sa vie est transformée !
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